Cette euphorbiacée forme une touffe compacte et légèrement étalée, au port coussinant et arrondi. Ses tiges souples et charnues s’étendent pour former un tapis bas, ponctué de feuilles épaisses et luisantes. La plante adopte une allure structurée mais naturelle, idéale pour adoucir les bordures de massifs ou habiller des rocailles. En sol bien drainé, elle s’étend progressivement sans devenir envahissante, créant un effet tapissant lumineux.

Originaire des zones côtières et semi-désertiques d’Afrique du Sud, l’Othonna cheirifolia pousse spontanément dans les sols rocailleux, sableux et arides, exposés à un fort ensoleillement et à des écarts thermiques importants. Cette origine lui confère une adaptation exceptionnelle aux milieux secs, tout en la rendant sensible aux excès d’eau. Elle partage son habitat naturel avec d’autres plantes succulentes emblématiques, comme les Delosperma, Senecio ou Aloe.

L’Othonna cheirifolia illumine le jardin dès le printemps avec ses fleurs jaunes vives, semblables à de petites marguerites. Ces inflorescences simples, mais nombreuses, contrastent magnifiquement avec le feuillage argenté. La floraison dure plusieurs semaines, souvent prolongée par une remontée à l’automne dans les régions au climat doux.
Les fleurs, regroupées sur de fines tiges au-dessus du feuillage, apportent légèreté et mouvement à la touffe compacte. Elles sont également mellifères, attirant abeilles et pollinisateurs.
La fructification, discrète, se présente sous forme de petits akènes secs. Dans la plupart des jardins, la plante ne se ressème pas spontanément, mais se multiplie aisément par bouturage de tiges charnues prélevées au printemps ou en été.

L’un des plus grands atouts de l’Othonna cheirifolia est sa facilité d’adaptation. Elle prospère dans tous les sols pauvres, sablonneux ou caillouteux, à condition qu’ils soient très bien drainés. Elle redoute par-dessus tout les excès d’humidité, surtout en hiver.
Idéale pour les jardins secs ou méditerranéens, elle se montre résistante à la chaleur, au vent et aux embruns marins.
En pot, elle apprécie un substrat léger composé de terre de jardin, de sable grossier et de graviers. Il est préférable d’utiliser des contenants percés pour éviter toute stagnation d’eau.
Côté entretien, cette vivace ne demande aucune taille particulière. On peut simplement ôter les fleurs fanées pour stimuler une nouvelle floraison et maintenir un aspect net.
En hiver, il est conseillé de protéger la plante du froid humide : un voile ou un abri sous véranda non chauffée suffit dans les régions au climat rigoureux.
La fertilisation est inutile ; un sol trop riche favoriserait le feuillage au détriment des fleurs et risquerait d’altérer sa belle teinte argentée.

Grâce à son port bas et compact, son feuillage persistant argenté et sa résistance exemplaire à la sécheresse, l’Othonna cheirifolia est une plante de choix pour les jardins secs et les aménagements contemporains.
En rocaille, elle accompagne parfaitement les lavandes naines, Artemisia, Euphorbia characias, Helichrysum ou Santolina, créant des scènes lumineuses et harmonieuses.
En bordure de massif, elle forme un tapis élégant qui met en valeur les plantes plus hautes ou florifères.
Elle est aussi excellente en pot ou jardinière, sur une terrasse en plein soleil ou dans une couche de graviers, où son feuillage bleuté contraste magnifiquement avec la pierre ou les éléments minéraux.
Son aspect argenté reflète la lumière, apportant une note apaisante et raffinée dans les jardins modernes.
Enfin, sa résilience naturelle et son entretien minimal en font une plante idéale pour les jardiniers débutants ou pour les espaces nécessitant peu d’arrosage.

Cette euphorbiacée forme une touffe compacte et légèrement étalée, au port coussinant et arrondi. Ses tiges souples et charnues s’étendent pour former un tapis bas, ponctué de feuilles épaisses et luisantes. La plante adopte une allure structurée mais naturelle, idéale pour adoucir les bordures de massifs ou habiller des rocailles. En sol bien drainé, elle s’étend progressivement sans devenir envahissante, créant un effet tapissant lumineux.

Originaire des zones côtières et semi-désertiques d’Afrique du Sud, l’Othonna cheirifolia pousse spontanément dans les sols rocailleux, sableux et arides, exposés à un fort ensoleillement et à des écarts thermiques importants. Cette origine lui confère une adaptation exceptionnelle aux milieux secs, tout en la rendant sensible aux excès d’eau. Elle partage son habitat naturel avec d’autres plantes succulentes emblématiques, comme les Delosperma, Senecio ou Aloe.

L’Othonna cheirifolia illumine le jardin dès le printemps avec ses fleurs jaunes vives, semblables à de petites marguerites. Ces inflorescences simples, mais nombreuses, contrastent magnifiquement avec le feuillage argenté. La floraison dure plusieurs semaines, souvent prolongée par une remontée à l’automne dans les régions au climat doux.
Les fleurs, regroupées sur de fines tiges au-dessus du feuillage, apportent légèreté et mouvement à la touffe compacte. Elles sont également mellifères, attirant abeilles et pollinisateurs.
La fructification, discrète, se présente sous forme de petits akènes secs. Dans la plupart des jardins, la plante ne se ressème pas spontanément, mais se multiplie aisément par bouturage de tiges charnues prélevées au printemps ou en été.

L’un des plus grands atouts de l’Othonna cheirifolia est sa facilité d’adaptation. Elle prospère dans tous les sols pauvres, sablonneux ou caillouteux, à condition qu’ils soient très bien drainés. Elle redoute par-dessus tout les excès d’humidité, surtout en hiver.
Idéale pour les jardins secs ou méditerranéens, elle se montre résistante à la chaleur, au vent et aux embruns marins.
En pot, elle apprécie un substrat léger composé de terre de jardin, de sable grossier et de graviers. Il est préférable d’utiliser des contenants percés pour éviter toute stagnation d’eau.
Côté entretien, cette vivace ne demande aucune taille particulière. On peut simplement ôter les fleurs fanées pour stimuler une nouvelle floraison et maintenir un aspect net.
En hiver, il est conseillé de protéger la plante du froid humide : un voile ou un abri sous véranda non chauffée suffit dans les régions au climat rigoureux.
La fertilisation est inutile ; un sol trop riche favoriserait le feuillage au détriment des fleurs et risquerait d’altérer sa belle teinte argentée.

Grâce à son port bas et compact, son feuillage persistant argenté et sa résistance exemplaire à la sécheresse, l’Othonna cheirifolia est une plante de choix pour les jardins secs et les aménagements contemporains.
En rocaille, elle accompagne parfaitement les lavandes naines, Artemisia, Euphorbia characias, Helichrysum ou Santolina, créant des scènes lumineuses et harmonieuses.
En bordure de massif, elle forme un tapis élégant qui met en valeur les plantes plus hautes ou florifères.
Elle est aussi excellente en pot ou jardinière, sur une terrasse en plein soleil ou dans une couche de graviers, où son feuillage bleuté contraste magnifiquement avec la pierre ou les éléments minéraux.
Son aspect argenté reflète la lumière, apportant une note apaisante et raffinée dans les jardins modernes.
Enfin, sa résilience naturelle et son entretien minimal en font une plante idéale pour les jardiniers débutants ou pour les espaces nécessitant peu d’arrosage.

À maturité, cette vivace couvre environ 40 à 60 cm de large. Ses tiges se lignifient légèrement avec l’âge, formant un coussin souple et élégant. Sa croissance est relativement rapide en conditions chaudes et sèches.

L’Othonna cheirifolia atteint une hauteur de 20 à 30 cm, formant un petit buisson bas et dense, idéal pour les bordures, rocailles ou jardinières. Ses tiges charnues et rampantes lui permettent de s’étaler tout en gardant une silhouette arrondie et compacte.

La floraison est abondante et lumineuse, apparaissant du printemps jusqu’au début de l’été (avril à juillet selon le climat), et parfois en remontée à l’automne. Elle se compose de petites fleurs jaunes en forme de marguerite, portées sur de fines tiges au-dessus du feuillage. Ces fleurs, très attractives, apportent une touche solaire dans les massifs.

La fructification est discrète, sous forme d’akènes légers qui se disséminent parfois naturellement. Cependant, cette plante se multiplie plus efficacement par bouturage de tiges succulentes, très facile à réussir.

Le feuillage est persistant et constitue l’un des principaux attraits de l’espèce. Les feuilles, épaisses, charnues et glauques, sont d’un vert bleuté argenté remarquable, allongées et légèrement en forme de spatule. Ce feuillage succulent retient l’eau, conférant à la plante une excellente résistance à la sécheresse. Il forme un tapis dense et décoratif toute l’année.

L’Othonna cheirifolia est rustique jusqu’à -6°C à -8°C en sol parfaitement drainé. Elle craint avant tout l’humidité hivernale, plus que le froid. Dans les régions à hivers rigoureux, il est conseillé de la cultiver en pot pour la protéger sous abri pendant les périodes froides.