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Le Gynerium rosea, plus connu sous le nom d’Herbe de la pampa rose, est une graminée ornementale spectaculaire, prisée pour sa floraison atypique aux reflets rosés. Variante colorée de la célèbre Cortaderia selloana, elle offre les mêmes qualités structurelles tout en apportant une touche de douceur et d’originalité au jardin.
Le Gynerium rosea peut atteindre une hauteur de 2,5 à 3 mètres, voire plus dans les régions chaudes et en sol fertile. Les hampes florales dressées le surplombent encore de 50 à 80 cm, lui conférant une silhouette imposante et très décorative.
La plante forme une large touffe dense de 1,5 à 2 mètres de diamètre, avec un feuillage retombant qui occupe l’espace au sol. Il convient de lui prévoir de la place pour éviter l’étouffement des plantes voisines.
Sa floraison a lieu de fin juillet à octobre. Ce cultivar se distingue par ses inflorescences rosées, allant du rose argenté au rose saumoné pâle, qui évoluent avec le temps vers des teintes plus crémeuses. Ces plumeaux sont soyeux, aériens, et apportent légèreté et romantisme au jardin.
Comme les autres Gynerium, cette variété peut produire de nombreuses graines plumeuses, dispersées par le vent. Cependant, certains clones horticoles sont stériles ou faiblement fertiles, ce qui limite leur dissémination spontanée, notamment en milieu sensible.
Le feuillage est persistant ou semi-persistant selon les climats. Les feuilles longues, étroites et vert gris, peuvent atteindre 1,5 à 2 mètres. Elles sont légèrement retombantes et tranchantes au toucher, comme chez toutes les herbes de la pampa.
Le Gynerium rosea est rustique jusqu’à -10 à -12°C. Dans les zones plus froides, un paillage du pied et une plantation abritée permettent de le maintenir vivace. Il résiste bien aux vents salins et aux embruns, ce qui le rend adapté aux jardins côtiers.
Le Gynerium rosea présente un port en large touffe très dense, avec un feuillage qui s’arque en cascade vers le sol. De ce cœur jaillissent en été les tiges florales verticales, robustes, portant des plumes rosées qui dansent avec le vent. Ce port donne un aspect majestueux et léger à la fois, adapté aux grands jardins, aux espaces ouverts ou aux zones à végétaliser rapidement.
Il s’intègre très bien en fond de massif, en isolé sur une pelouse, ou en rideau végétal le long d’une clôture ou d’une allée.
Comme son cousin Gynerium argenteum, le Gynerium rosea trouve ses origines en Amérique du Sud, notamment dans les plaines de la Pampa argentine et uruguayenne. Il s’agit cependant ici d’un cultivar horticole, sélectionné pour la teinte rosée rare de sa floraison, et donc souvent moins fertile que l’espèce type.
Cette sélection le rend plus adapté aux jardins, notamment dans les régions où l’espèce type est jugée trop envahissante.
La floraison du Gynerium rosea constitue son principal attrait visuel. Les plumes rosées, rarement vues chez les graminées, apparaissent en été et automne, prolongeant l’intérêt ornemental du jardin jusqu’aux premières gelées.
Les inflorescences plumeuses sont non seulement belles en massif, mais aussi parfaites en fleurs coupées, fraîches ou séchées. Leur teinte subtilement rosée apporte une touche de romantisme et de poésie, qui tranche avec l’aspect plus sauvage des formes classiques à plumeaux blancs.
Certaines sélections sont stériles, ce qui limite leur propagation, un avantage dans les zones naturelles sensibles ou dans les jardins où l’on souhaite maîtriser les semis spontanés.
Le Gynerium rosea est une plante peu exigeante, à condition de respecter quelques points clés :
Sol : il aime les sols profonds, légers, bien drainés, et supporte même les sols sableux ou pauvres. Les sols trop humides ou mal drainés en hiver peuvent compromettre sa rusticité.
Plantation : de préférence au printemps ou en début d’automne, en plein soleil. Il est important de prévoir suffisamment d’espace autour pour qu’il se développe pleinement.
Taille : en fin d’hiver (février-mars), on rabat la touffe à 30 ou 40 cm du sol pour favoriser une repousse vigoureuse et un feuillage propre.
Entretien : très faible. Il suffit de retirer les feuilles mortes et de diviser la touffe tous les 5 ans pour la régénérer. Il est recommandé de porter des gants lors de la taille à cause des feuilles coupantes.
Ses besoins en eau sont modérés à faibles une fois bien établi. Il tolère bien la sécheresse estivale, surtout en sol profond. Un arrosage ponctuel en période chaude favorise toutefois une floraison plus généreuse. L’irrigation est donc modérée.
Le Gynerium rosea est une plante d’impact, qui structure les volumes et attire l’œil par son élégance naturelle. Voici quelques usages courants :
En isolé, pour créer un point focal puissant
En alignement, pour délimiter un espace ou masquer un vis-à-vis
Dans un jardin sec ou méditerranéen, aux côtés de plantes comme lavandes, agapanthes, ou gaura
En bord de bassin ou dans les jardins naturalistes, pour créer des scènes aériennes
En jardin de fleurs séchées, où ses plumeaux rosés font merveille en composition
Elle se prête également à des ambitions plus modernes : combinée avec des graminées plus fines (Stipa, Pennisetum) ou avec des vivaces à floraison estivale (Verbena bonariensis, Echinacea, Gaillardia), elle offre un contraste subtil entre sa structure massive et sa légèreté florale.
Le Gynerium rosea présente un port en large touffe très dense, avec un feuillage qui s’arque en cascade vers le sol. De ce cœur jaillissent en été les tiges florales verticales, robustes, portant des plumes rosées qui dansent avec le vent. Ce port donne un aspect majestueux et léger à la fois, adapté aux grands jardins, aux espaces ouverts ou aux zones à végétaliser rapidement.
Il s’intègre très bien en fond de massif, en isolé sur une pelouse, ou en rideau végétal le long d’une clôture ou d’une allée.
Comme son cousin Gynerium argenteum, le Gynerium rosea trouve ses origines en Amérique du Sud, notamment dans les plaines de la Pampa argentine et uruguayenne. Il s’agit cependant ici d’un cultivar horticole, sélectionné pour la teinte rosée rare de sa floraison, et donc souvent moins fertile que l’espèce type.
Cette sélection le rend plus adapté aux jardins, notamment dans les régions où l’espèce type est jugée trop envahissante.
La floraison du Gynerium rosea constitue son principal attrait visuel. Les plumes rosées, rarement vues chez les graminées, apparaissent en été et automne, prolongeant l’intérêt ornemental du jardin jusqu’aux premières gelées.
Les inflorescences plumeuses sont non seulement belles en massif, mais aussi parfaites en fleurs coupées, fraîches ou séchées. Leur teinte subtilement rosée apporte une touche de romantisme et de poésie, qui tranche avec l’aspect plus sauvage des formes classiques à plumeaux blancs.
Certaines sélections sont stériles, ce qui limite leur propagation, un avantage dans les zones naturelles sensibles ou dans les jardins où l’on souhaite maîtriser les semis spontanés.
Le Gynerium rosea est une plante peu exigeante, à condition de respecter quelques points clés :
Sol : il aime les sols profonds, légers, bien drainés, et supporte même les sols sableux ou pauvres. Les sols trop humides ou mal drainés en hiver peuvent compromettre sa rusticité.
Plantation : de préférence au printemps ou en début d’automne, en plein soleil. Il est important de prévoir suffisamment d’espace autour pour qu’il se développe pleinement.
Taille : en fin d’hiver (février-mars), on rabat la touffe à 30 ou 40 cm du sol pour favoriser une repousse vigoureuse et un feuillage propre.
Entretien : très faible. Il suffit de retirer les feuilles mortes et de diviser la touffe tous les 5 ans pour la régénérer. Il est recommandé de porter des gants lors de la taille à cause des feuilles coupantes.
Ses besoins en eau sont modérés à faibles une fois bien établi. Il tolère bien la sécheresse estivale, surtout en sol profond. Un arrosage ponctuel en période chaude favorise toutefois une floraison plus généreuse. L’irrigation est donc modérée.
Le Gynerium rosea est une plante d’impact, qui structure les volumes et attire l’œil par son élégance naturelle. Voici quelques usages courants :
En isolé, pour créer un point focal puissant
En alignement, pour délimiter un espace ou masquer un vis-à-vis
Dans un jardin sec ou méditerranéen, aux côtés de plantes comme lavandes, agapanthes, ou gaura
En bord de bassin ou dans les jardins naturalistes, pour créer des scènes aériennes
En jardin de fleurs séchées, où ses plumeaux rosés font merveille en composition
Elle se prête également à des ambitions plus modernes : combinée avec des graminées plus fines (Stipa, Pennisetum) ou avec des vivaces à floraison estivale (Verbena bonariensis, Echinacea, Gaillardia), elle offre un contraste subtil entre sa structure massive et sa légèreté florale.
La plante forme une large touffe dense de 1,5 à 2 mètres de diamètre, avec un feuillage retombant qui occupe l’espace au sol. Il convient de lui prévoir de la place pour éviter l’étouffement des plantes voisines.
Le Gynerium rosea peut atteindre une hauteur de 2,5 à 3 mètres, voire plus dans les régions chaudes et en sol fertile. Les hampes florales dressées le surplombent encore de 50 à 80 cm, lui conférant une silhouette imposante et très décorative.
Sa floraison a lieu de fin juillet à octobre. Ce cultivar se distingue par ses inflorescences rosées, allant du rose argenté au rose saumoné pâle, qui évoluent avec le temps vers des teintes plus crémeuses. Ces plumeaux sont soyeux, aériens, et apportent légèreté et romantisme au jardin.
Comme les autres Gynerium, cette variété peut produire de nombreuses graines plumeuses, dispersées par le vent. Cependant, certains clones horticoles sont stériles ou faiblement fertiles, ce qui limite leur dissémination spontanée, notamment en milieu sensible.
Le feuillage est persistant ou semi-persistant selon les climats. Les feuilles longues, étroites et vert gris, peuvent atteindre 1,5 à 2 mètres. Elles sont légèrement retombantes et tranchantes au toucher, comme chez toutes les herbes de la pampa.
Le Gynerium rosea est rustique jusqu’à -10 à -12°C. Dans les zones plus froides, un paillage du pied et une plantation abritée permettent de le maintenir vivace. Il résiste bien aux vents salins et aux embruns, ce qui le rend adapté aux jardins côtiers.
